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Pendant des décennies, la cybersécurité des organisations reposait sur une approche traditionnelle et relativement simple : le périmètre de sécurité. Ce modèle consistait à protéger un réseau interne considéré comme « sûr » et à en isoler les menaces extérieures. Tout ce qui se trouvait à l’intérieur du périmètre était jugé fiable, tandis que l’extérieur était perçu comme un environnement hostile. Cependant, cette approche s’est révélée inefficace face aux nouvelles réalités du monde numérique moderne. L’augmentation du télétravail, l’essor du cloud et l’adoption de modèles d’infrastructures hybrides ont bouleversé ce périmètre. Aujourd’hui, les cyberpirates exploitent de plus en plus des vulnérabilités au sein même des réseaux internes, notamment en s’attaquant aux identités et aux accès des utilisateurs. C’est précisément ce contexte qui a donné naissance à une nouvelle approche de la cybersécurité : le Zéro Trust.
Le Zéro Trust repose sur un principe fondamental : ne jamais faire confiance, toujours vérifier. Contrairement aux modèles traditionnels, il ne suppose aucune confiance par défaut, même pour les utilisateurs internes et les ressources qui semblent légitimes. Chaque tentative d’accès, qu’elle provienne de l’intérieur ou de l’extérieur du réseau, est rigoureusement vérifiée et validée avant d’être autorisée.
Le Zéro Trust repose sur plusieurs concepts essentiels, qui permettent de garantir la sécurité des ressources de manière plus dynamique et granulaire.
Explosion des cyberattaques
Les ransomwares, le phishing ou les attaques par ingénierie sociale, exploitent souvent des identifiants volés ou des accès insuffisamment sécurisés. Un modèle Zéro Trust permet de limiter les risques associés à ces attaques en restreignant les permissions des utilisateurs et en vérifiant continuellement leurs actions au sein du réseau.
Télétravail et infrastructures hybrides
De plus, le travail à distance, amplifié par la pandémie, et l’adoption du cloud ont modifié la manière dont les entreprises interagissent avec leurs ressources. Les équipes n’accèdent plus à leurs applications depuis des réseaux internes sécurisés, mais depuis des environnements externes, souvent depuis des terminaux personnels. Le périmètre de sécurité classique, qui se concentrait sur la protection d’un réseau interne, n’est plus suffisant dans ce contexte. Le Zéro Trust permet de sécuriser l’accès aux ressources quelle que soit la localisation de l’utilisateur.
Réglementations et conformité
Les réglementations en matière de cybersécurité, telles que le RGPD, la norme ISO 27001 ou la directive NIS2, imposent des exigences strictes en matière de protection des données et de sécurité des infrastructures. Le Zéro Trust, avec son contrôle d’accès rigoureux et sa surveillance continue, est un moyen efficace de se conformer à ces normes tout en garantissant la confidentialité des informations sensibles. En intégrant ces principes, les entreprises peuvent éviter des sanctions coûteuses et renforcer leur position face aux auditeurs et aux régulateurs.
Protection proactive plutôt que réactive
Le Zéro Trust permet de ne pas seulement réagir aux attaques, mais de les anticiper. En vérifiant systématiquement l’identité et l’accès à chaque ressource, l’approche Zéro Trust bloque proactivement toute activité suspecte avant qu’elle ne puisse causer des dommages.
Adopter le Zero Trust peut sembler intimidant, mais il est possible de procéder étape par étape pour l’intégrer dans une organisation.
Si le modèle Zéro Trust renforce indéniablement la cybersécurité, il pose aussi des défis en matière d’usabilité, notamment avec le chiffrement de bout en bout (E2EE). L’E2EE consiste à chiffrer les données directement au niveau utilisateur, avant même leur stockage dans le Cloud, garantissant une confidentialité totale.
Cependant, appliqué à l’extrême, ce modèle peut rendre les données inutilisables (plus d’aperçu de fichiers, plus de collaboration en temps réel, moins d’IA pour optimiser la gestion des données…). Cela peut mener à une sur-sécurisation contre-productive, où les utilisateurs contournent les règles en utilisant des solutions non approuvées.
Plutôt que de supprimer totalement la confiance, optez pour une approche qui prône un équilibre entre sécurité et usabilité. Le Zéro Trust doit s’utiliser avec intelligence et pragmatisme.
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